Bien que cette décision protège clairement les droits des accusés, il limite aussi les tentatives de manipuler la loi. Par exemple, le droit de garder le silence ne peut être exercé de façon rétroactive. Si un défendeur regrette réponses fournies lors d'un interrogatoire, il ne peut pas «reprendre» ce qui a été dit. En outre, si l'accusé invoque son droit de garder le silence ou de présence d'un avocat, les policiers peuvent continuer à l'interroger sur d'autres questions non liées. En outre, la demande de l'accusé pour un avocat doit être sans équivoque, y compris une déclaration qu'il ne sera pas répondre à quoi que ce soit d'autre sans présence d'un avocat. Enfin, si la question à la main est une question de sécurité publique imminente, la nécessité de protéger la communauté l'emporte sur les droits de l'individu.